Ce pelotage "bon à leur prendre" est bouleversant. Moi ça ne me fait pas rire. Je ne pense pas à une femme âgée "en la voyant". Plutôt à la victime d'un accident ou d'un "poing pédagogique".
ah non, c'est pas drôle, c'est glaçant. En deuxième lecture, drôle grinçant. Le dentier, ça fait toujours un peu rire... mais d'abord, le corps en vrac et les dents qui foutent le camp, c'est la mort. Eros - tanatos... ou même pas?
@isabelle C. Si, si, c'est très drôle.@Anonyme. Elle avait c' qu'il fallait où il fallait, je suppose.@Kouki. C'est déjà ça. :)@Vinosse. Où ça ? Pige pas bien. :)@arf. Le poing, le dentier... ouais. Bizarre rencontre.@Sophie K. Une petite tape dans le dos au cas où tu t'étranglerais ?@Mu LM. C'est très possible. Puérile laisserait penser le contraire, non ?@Blue Jam. Comme pour Sophie K ?@AdS. ........ j' sais pas comment vous faites. :)@jibé. J'espérais que ça aurait les deux effets. Les deux choses réunies. :)@Vinosse. T'es pas au peep show. :D
@Depluloin. J' vous comprends : vous êtes un homme de goût et moi pas.@L....................uC. M'enfin, m'sieur Lamy !@nicolasbleusher. Et en plus elle s'appelait Ernestine !
Ah bon? Moi je laisse mon ratelier dans la salle de bain. C'est plus hygiénique. D'ailleurs, ça n'empêche pas de bronzer, un ratelier. Donc, blanche et fadasse, euh... Et le poing je veux dire, ça peut franchement se foutre ailleurs que là où vous le dîtes, le cas échéant. Sans puérilité aucune.Il est un tantinet misogyne, votre poème qui propose une fois de plus un inexistant éternel féminin.
@ FrancEsco : Autant que possible, oui !@ Anna : Ben je viens de chez toi, mais tu m'ignores, je ne compte plus, tu réponds à tout le monde sauf à moi... je vais me harakiriser :0)
@ Francesco : Réaliste, je ne dis pas, mais le monde que vous dépeignez est étrange, flottant par moment, distordu. C'est votre réalité sans doute, mais elle est poétique et donc revisitée, tenue à distance. Magnifiée.
Moi ou une autre n'a aucune importance. C'était juste histoire de prendre le contre-pied de ce que vous avez écrit, et que je trouve effectivement assez misogyne. Désolée de ne pas être sensible à ce genre de poésie.
@Floréal. Trouvez c' que vous voulez mais en parlant de prendre le contre-pied, vous n'engagez que vous, pas moi.Soyez pas désolée. Y pas d'obligation. Vous aimez pas, ben, c'est comme ça. J'aime pas tout ce que j' lis non plus.
@FM. Franchement, j'ai pas l'impression de le rendre plus étrange ou distordu qu'il n'est. J' suis peut-être pas assez adroit pour le rendre mieux. C'est tout.
@ Francesco : Parce que vous les voyez ainsi ! Mais nous, à qui vous les donnez à voir, ne les ressentons pas de la même manière. N'est ce pas cela, écrire ? Donner accès à une vision que finalement on est peut-être le(la) seul(e) à avoir de cette manière-là ?
Ebin, faut s'y plier, sinon à quoi bon que le poète se décarcasse ???Par contre, ceux qui veulent, peuvent tenter de réécrire pas mal de textes célèbres, pour les amener à leur propre vision, non? On pourrait rigoler un peu...
Prim's mais sais pas pourquoi :))C'est pas drôle !
RépondreSupprimerDevait pas être si dépareillée que çà, la sansdent !A.L.
RépondreSupprimerOuaif. Surtout le un peu beaucoup.
RépondreSupprimerJe crus un instant qu'elle mit son dentier ailleurs...
RépondreSupprimerElle riait donc dans son poing pour ne pas que le dentier s'échappe. Elle fait bien de le poser.
RépondreSupprimerAh pitaing de chute, mouhahahahahaha !
RépondreSupprimerchute excellentej'ai eu brievement la vision d'une femme nue ridée, aux cheveux clairsemés
RépondreSupprimerJe rigole encore !!!
RépondreSupprimerCe pelotage "bon à leur prendre" est bouleversant. Moi ça ne me fait pas rire. Je ne pense pas à une femme âgée "en la voyant". Plutôt à la victime d'un accident ou d'un "poing pédagogique".
RépondreSupprimerah non, c'est pas drôle, c'est glaçant. En deuxième lecture, drôle grinçant. Le dentier, ça fait toujours un peu rire... mais d'abord, le corps en vrac et les dents qui foutent le camp, c'est la mort. Eros - tanatos... ou même pas?
RépondreSupprimerOn attend la suite avec impatience...
RépondreSupprimer@isabelle C. Si, si, c'est très drôle.@Anonyme. Elle avait c' qu'il fallait où il fallait, je suppose.@Kouki. C'est déjà ça. :)@Vinosse. Où ça ? Pige pas bien. :)@arf. Le poing, le dentier... ouais. Bizarre rencontre.@Sophie K. Une petite tape dans le dos au cas où tu t'étranglerais ?@Mu LM. C'est très possible. Puérile laisserait penser le contraire, non ?@Blue Jam. Comme pour Sophie K ?@AdS. ........ j' sais pas comment vous faites. :)@jibé. J'espérais que ça aurait les deux effets. Les deux choses réunies. :)@Vinosse. T'es pas au peep show. :D
RépondreSupprimerDommage, pour ma part je supprimerais la dernière strophe... (Quoique sans les dents...)
RépondreSupprimerSans plus... Mais, même puérile, cela annonce une pipe d'enfer...(je sors ).
RépondreSupprimerJe l'appelerais bien Ernestine la tienne ! ;)
RépondreSupprimer@Depluloin. J' vous comprends : vous êtes un homme de goût et moi pas.@L....................uC. M'enfin, m'sieur Lamy !@nicolasbleusher. Et en plus elle s'appelait Ernestine !
RépondreSupprimerAh bon? Moi je laisse mon ratelier dans la salle de bain. C'est plus hygiénique. D'ailleurs, ça n'empêche pas de bronzer, un ratelier. Donc, blanche et fadasse, euh... Et le poing je veux dire, ça peut franchement se foutre ailleurs que là où vous le dîtes, le cas échéant. Sans puérilité aucune.Il est un tantinet misogyne, votre poème qui propose une fois de plus un inexistant éternel féminin.
RépondreSupprimer@Floréal. Votre vie ne m'intéresse pas. Et puis, misogyne vous -même. Si j' peux m' permettre. :)
RépondreSupprimerVos textes, on dirait les prismes d'un seul et même monde, étrange et dérangeant.
RépondreSupprimer@Frédaime : koiketufou là ? T'es pas en train de mettre ton blog à jour ?
RépondreSupprimer@FM. Ah, vous croyez ? J'ai l'impression d'être réaliste.@AdS. FM fait c' qu'elle veut.
RépondreSupprimer@ FrancEsco : Autant que possible, oui !@ Anna : Ben je viens de chez toi, mais tu m'ignores, je ne compte plus, tu réponds à tout le monde sauf à moi... je vais me harakiriser :0)
RépondreSupprimer@ Francesco : Réaliste, je ne dis pas, mais le monde que vous dépeignez est étrange, flottant par moment, distordu. C'est votre réalité sans doute, mais elle est poétique et donc revisitée, tenue à distance. Magnifiée.
RépondreSupprimerMoi ou une autre n'a aucune importance. C'était juste histoire de prendre le contre-pied de ce que vous avez écrit, et que je trouve effectivement assez misogyne. Désolée de ne pas être sensible à ce genre de poésie.
RépondreSupprimer@Floréal. Trouvez c' que vous voulez mais en parlant de prendre le contre-pied, vous n'engagez que vous, pas moi.Soyez pas désolée. Y pas d'obligation. Vous aimez pas, ben, c'est comme ça. J'aime pas tout ce que j' lis non plus.
RépondreSupprimer@FM. Franchement, j'ai pas l'impression de le rendre plus étrange ou distordu qu'il n'est. J' suis peut-être pas assez adroit pour le rendre mieux. C'est tout.
RépondreSupprimer@ Francesco : Parce que vous les voyez ainsi ! Mais nous, à qui vous les donnez à voir, ne les ressentons pas de la même manière. N'est ce pas cela, écrire ? Donner accès à une vision que finalement on est peut-être le(la) seul(e) à avoir de cette manière-là ?
RépondreSupprimerEbin, faut s'y plier, sinon à quoi bon que le poète se décarcasse ???Par contre, ceux qui veulent, peuvent tenter de réécrire pas mal de textes célèbres, pour les amener à leur propre vision, non? On pourrait rigoler un peu...
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