M'étonne pas que le soleil soit rentré de travers, s'est dézippé les rayons sur le carrelage savonné, du coup il pleut... y 'aura plein de grenouilles en ce bel été pour t'estourdir des nuits entières. Voilà, tu te casses, c'est ça ?
Un poème de plein été, une chaleur que nous n'aurons pas connue ici, quelqu'un qui appelle. On est au coeur d'une salle de bain ouverte sur l'extérieur. On regrette déjà de devoir la quitter.
Comme les douches arabes où l'on voit les brumes mouillées passer sur le soleil et où les voix dérapent sur les zelliges ... rahhhhhhh !Si, tu reviendras
@Frédérique. j' vous prierais de garder une certaine tenue dans l'expression, bordel. :D@FM.Eh oui.. tout a une fin.@Kouki. J' pense pas. Tu crois qu'on revient, toi ?@SophieK. Les vacances, Sophie, les vacances ! Ouais, j'ai traîné un peu.@Chr. Borhen. J'y suis PLUS pour longtemps. Faut lire ça et pas aut' chose. Ouf ! :))
@Kouki. Bon, si tu l' dis, j' veux bien t' croire.@Zoé. Ben, t'as une jolie voix, toi. Oui, je le sais.@Luc. Ah, Tillieux ! autre chose que l'insipide Hergé ! Qu'est-ce que j'adore son esprit. On parle de l'invention langagière de RG, et on ignore Tillieux. Pfff...@Vinosse. On en apprend tous les jours.
Le soleil qui entre de travers, la poignée de savon noir et ce "J'y suis plus pour longtemps" qui répond à "quelqu'un appelle quelqu'un", j'aime beaucoup.
M'étonne pas que le soleil soit rentré de travers, s'est dézippé les rayons sur le carrelage savonné, du coup il pleut... y 'aura plein de grenouilles en ce bel été pour t'estourdir des nuits entières. Voilà, tu te casses, c'est ça ?
RépondreSupprimerUn poème de plein été, une chaleur que nous n'aurons pas connue ici, quelqu'un qui appelle. On est au coeur d'une salle de bain ouverte sur l'extérieur. On regrette déjà de devoir la quitter.
RépondreSupprimerComme les douches arabes où l'on voit les brumes mouillées passer sur le soleil et où les voix dérapent sur les zelliges ... rahhhhhhh !Si, tu reviendras
RépondreSupprimerAaaah. C'est pas trop tôt.(T'en mets un temps ! J'ai cru que tu t'étais endormi dans ton bain...)
RépondreSupprimerJ'y suis PLUS pour longtemps. Ouf !J'avais en effet cru lire : Je N'Y suis plus pour longtemps.
RépondreSupprimer@Frédérique. j' vous prierais de garder une certaine tenue dans l'expression, bordel. :D@FM.Eh oui.. tout a une fin.@Kouki. J' pense pas. Tu crois qu'on revient, toi ?@SophieK. Les vacances, Sophie, les vacances ! Ouais, j'ai traîné un peu.@Chr. Borhen. J'y suis PLUS pour longtemps. Faut lire ça et pas aut' chose. Ouf ! :))
RépondreSupprimerTu reviendras mais ailleurs ... on y revient toujours il me semble, affaire de plaisir ... ou bien ?
RépondreSupprimerTu vas où, avec qui, pour quoi faire. Dis quand reviendras-tu ? Dis, au moins le sais-tu ?
RépondreSupprimerS'ils savent que nous savons ce que vous savez... Ouvrons une savonnerie...(hommage à Tillieux bien sûr !;o)
RépondreSupprimerJ'savais pas qu'on savonnait les planches de surf...SURTOUT EN CHÊNE.
RépondreSupprimer@Kouki. Bon, si tu l' dis, j' veux bien t' croire.@Zoé. Ben, t'as une jolie voix, toi. Oui, je le sais.@Luc. Ah, Tillieux ! autre chose que l'insipide Hergé ! Qu'est-ce que j'adore son esprit. On parle de l'invention langagière de RG, et on ignore Tillieux. Pfff...@Vinosse. On en apprend tous les jours.
RépondreSupprimerEpitaphe parfumée ?A.L.
RépondreSupprimerAEIOUPoème rimbaldien.
RépondreSupprimer@Anonyme. Peut-être.@Vinosse. T'as du talent, continue. :))
RépondreSupprimerOh, Tillieux, l'un de mes auteurs de BD favoris aussi... :0) Faut que je me les rachète, tiens. Libellule et Croûton me manquent.
RépondreSupprimerJ'aurais dû mettre "court poème"...
RépondreSupprimerLe soleil qui entre de travers, la poignée de savon noir et ce "J'y suis plus pour longtemps" qui répond à "quelqu'un appelle quelqu'un", j'aime beaucoup.
RépondreSupprimer@Sophie. Y a les intégrales chez Dupuis.@Vinosse. Pas grave. Il était beau quand même.@AdS. Merci à vous. :)
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